Disques

Entre Callas et Giulini ?

Rigoletto a été particulièrement gâté par le disque. Depuis toujours. Pour autant avons-nous une version de « référence ». Pas tout à fait. Cependant deux versions sortent du lot, chacune pour des raisons différentes.

Par ordre chronologique, captée en 1955 à la Scala de Milan et sous la direction de Tullio Serafin, Maria Callas, encore et toujours irremplaçable.

Malgré des partenaires sur lesquels le temps a rendu un impitoyable verdict (di Stefano et Gobbi), cette intégrale nous donne une Gilda loin de certains lyrique-légers qui en avaient fait à cette époque leur champ de bataille, et sûrement plus proche des volontés de Verdi. N’oublions pas que la Brambilla, qui créa ce rôle, chantait également…Nabucco et Ernani !

Plus près de nous, en 1980, à la tête des phalanges du Wiener Philharmoniker, Carlo Maria Giulini dirigeait la plus bouleversante des versions « studio ». Inégalée à ce jour. Une distribution (Domingo/Cotrubas/ Cappuccilli) fortement imprégnée des souhaits du maestro récemment disparu (qui aurait osé les discuter ?) donnait alors plus que son meilleur.

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